Sam 14 Sep 2024 - 14:07 par Evalynn Fawn
Sam 14 Sep 2024 - 10:36 par Juniper LoveLace
Mer 11 Sep 2024 - 17:53 par Polaris
Mer 11 Sep 2024 - 17:51 par Polaris
Mer 11 Sep 2024 - 17:47 par Polaris
Mer 11 Sep 2024 - 17:31 par Polaris
Mer 11 Sep 2024 - 17:29 par Caelan Wynter
Mer 11 Sep 2024 - 16:43 par Polaris
Dim 8 Sep 2024 - 19:16 par Invité
Kulning | Blake
Blake Aisling TULACH
Do not step on sacred lands
groupe/faction : Eveillés/Aucune
âge/ddn: 26 ans
origine : Irlande/Ecosse
genre : Femme
sexualité : DemiRo/Bi
métier : Chanteuse au Théâtre Thalia
habitation : New Venture
fc illu/fc irl : Makima/Alexia Evellyn
don : SuperForce
bataillon : Non
Caractère
T’es du genre à vivre à 100 à l’heure et d’ordinaire, tu ne restes jamais bien longtemps au même endroit.
Faut croire que Venture a trouvé un boulet à te poser à la cheville. Il doit avoir trois ans le boulet maintenant, ça commence à doucement peser à cet âge là.
C’est pas tant que les choses t’ennuient en vrai (un peu), c’est plus que rien ni personne n’a encore vraiment fixé ton intérêt. Alors, en attendant, tu te contentes de papillonner sur autant d’aspects de ta vie que possible. Quitte à ne pas savoir quoi faire exactement, autant tout essayer.
Et des choses tu en essaies: des gens, des boulots, des lieux, des alcools, des drogues, des jeux, des passions… Tout ce que tu peux et veux sur le moment.
Puis, tu ne vas pas le cacher: tu sais avoir un ‘sale’ caractère. Tu n’as aucun mal à passer de la douce vierge innocente à la garce mordante. Et fichtre ce qu’elle peut mordre celle-là quand on l’emmerde.
Ça a tendance à te rendre un tantinet imprévisible.
Tu n’aimes pas qu’on se fiche de toi, qu’on te prenne de haut. Tu n’es pas non plus une grande fan de l’autorité et encore moins des restrictions. Tu aimes être libre, te sentir libre et laisser parler tes ambitions et désirs sans les contraindres.
Tu n’es pas méchante.
Pas vraiment gentille non plus.
Quand une idée te tient, quand tu as un but précis en tête, tu n’as pas vraiment peur des limites pour l’atteindre. Que ce soient les tiennes, celles des autres ou celles du monde de manière générale.
Ton seul compas moral concret ? Celui que tu décides de t’imposer sur le moment.
Aventureuse -- Téméraire -- Curieuse -- Indépendante -- Empathique -- Difficile -- Défiance totale de l’autorité -- Imprévisible -- Forte tête -- Têtue -- Attentive -- Caméléon
° Not a people pleaser °
° Not a people pleaser °
Physique
Cheveux: Longs, bouclés. Naturellement roux. Teintures blondes ou brunes en fonction de ses humeurs.
Yeux: Noisette ambré.
Taille: 1m67.
Autres: Un grand tatouage abstrait sur le dos, tombant légèrement sur ses hanches et remontant sur ses épaules.
D’autres plus petits à l’arrière de la nuque, sur le torse et les poignets. Ceux aux poignets datent de ses 16 ans, elle les a fait elle-même. Une aiguille et de l’encre de chine. Elle les a fait retracer plus tard par un professionnel à LA.
Un piercing au nombril. Elle l’a fait elle-même quand elle avait 16 ans.
Style vestimentaire: Tout ce qui est pratique pour casser des gueules, mais avec des talons. On n’arrête pas d’être sexy, même en temps de crise.
Elle sait aussi très bien porter les robes et tenues plus formelles. Ce n’est juste pas son style de prédilection. Encore une fois, tout dépend de son humeur et de ce qu’elle cherche à laisser transparaître.
Don
Éveillée de naissance, ton Don se déclare à tes 6 ans. Tu fais preuve d’une force parfaitement anormale pour une enfant de ton âge et de ton gabarit. Et cela n’a fait qu’empirer avec l’âge.
Décision est vite prise de t’entraîner à au moins maîtriser cette force et sa progression. Mais tu finis vite par y trouver un intérêt personnel et apprécier ce côté là de ta personne: taper fort, ça éloigne facilement les emmerdeurs. Ce ne sera qu’adulte, plus tard, que tu en découvriras aussi les conséquences.
Tu n’as que peu de difficultés à te maîtriser maintenant. Les coups de rage et de colère incontrôlés ont tendance à te faire perdre le contrôle mais ça reste assez rare: tu es relativement calme et stable niveau émotionnel.
Cela étant, ce Don, tu le caches. Nul besoin que tout le monde soit au courant de ça. C’est ta botte secrète: tu ne l’utilises que quand il est réellement nécessaire.
Histoire
La maison de tes grands-parents était vieille.
Celle dont les marches couinent quand un pied s’y pose; où le bois craque seul la nuit; où les branches des arbres tapant contre la fenêtre projettent des ombres mystérieuses et où le vent s’infiltre entre les creux pour murmurer les légendes de la Gaélie au creux de tes oreilles.
Selon toi, elle abritait un Brownie, Brùnaidh que tu l’appelais, sans vraiment d’originalité. Alors pour sa générosité et le soin qu’il prenait de cette vieille architecture, tu lui laissais parfois quelques biscuits au pied des marches menant au grenier.
Parce que bien entendu, caché des yeux malicieux, c’est là qu’il avait niché son nid.
Selon toi.
Quand tu te baladais le long du loch, tu cherchais, les mains en guise de jumelles de fortune, les traces des kelpies et chaque élodée que tu croisais, te faisait te méfier des each uisge qui pouvaient alors traîner dans les parages.
Les bonnets-rouges, eux, tu ne les as jamais vus. Tu n’étais pas sûre qu’ils existent: sûrement une fable pour enfants.
Sous les grands rochers, qu’à une main tu soulevais; entre les feuilles; entre deux nuages ressemblant un peu trop à de jeunes danseuses perdues dans l’infini, tu assurerais avoir entraperçu une pixie ou entendu une sylphe chanter.
Une fois ou deux, tes grands-parents t’emmenèrent sur les plages des Highlands. Mais le sable sous tes pieds nus n’avait pas l’effet unique des petits cailloux tranchants et de l’herbe humide de la montagne.
La mer n’avait pas le son, cet écho si particulier de la roche, elle n’avait pas la beauté de la vallée, aussi grande et fière fusse l’eau qui s’étendait devant toi.
Tu es une enfant du vent qui balaie le Ben Nevis.
Pas celle des eaux.
Une petite attentive aux mots de Lug.
Alors tu as eu beaucoup de mal à quitter tes grands-parents, le froid gelé de la vallée de Glencoe, les sylphes et même les banshee ont su te manquer quand tu as été récupérée par Frédrik et que la France est devenue ton nouveau ‘chez toi’. Ou du moins, ils espéraient qu’elle le devienne. Ce ne fut jamais le cas.
Oh, tu as bien essayé pourtant.
Quand les sylphes ont pour de bon cessé de chanter; quand tu as compris que les pixies ne quittent pas leurs fleurs et que Brùnaidh devenait trop vieux lui aussi pour s’occuper de la maison de ton enfance.
Quand tu as commencé à oublier l’odeur du froid de la montagne.
Quand les portes du Sidh ont été finalement fermées, en somme.
C’est à ce moment-là que tu as compris que les Highlands étaient déjà bien loin. Alors tu as essayé de te dire que ce nouveau pays était le tien, que tu ferais quelque chose de tout ça.
Mais le patriotisme, ça n’a pas été pour toi.
Alors, quand ils t’ont demandé de partir, c’est ce que tu as fait. A vrai dire, avant de mettre les voiles au loin, tu es rentrée, un peu, ‘à la maison’.
Mais là encore, les nuages n’étaient plus que des nuages.
Définitivement, le Brownie avait abandonné l’édifice qui tombait peu à peu en décrépitude.
Le vent ne murmurait plus de légendes à tes oreilles.
Les ombres des branches n’étaient que des ombres.
Les craquement du bois, la vieillesse de celui-ci.
La montagne ne chantait plus ou alors tu ne l’entendais plus.
Les élodées ne t’inquiétaient plus.
A nouveau alors, tu es partie.
Tu as laissé le loch et l’herbe humide et tu as fait ton voyage vers l’Ouest.
Peut-être que tu es devenue plus dure et aigrie avec ça. Certainement même. Quand l’Hiraeth frappe, plus rien n’est ‘chez nous’, si ce n’est ce lieu depuis trop longtemps perdu.
Là-bas, c’est toi qui a chanté, qui chante encore d’ailleurs. Sans la même fièvre qui te prenait, avant.
Tu y as continué à entraîner ta force. Avec plus de ferveur encore qu’avant.
La poète de Brigit laissant place à une guerrière acharnée.
Et quand Vivian t’a fait cette demande, dans un dernier souffle entre tes bras, tu n’as pas su refuser. Et tu jurerais que ce jour-là, tu as entendu la voix des Femmes du Sidh et que ces trois corneilles, sur le trottoir en sortant, celles qui n’auraient jamais dû se trouver là, étaient celles de Mórrígan.
Alors tu continues de chanter. Même sans vraiment y croire.
Que ce Kulning s’emporte à travers le vent jusqu’au Glencoe et ses landes. Qu’il traverse le loch et fasse onduler ses eaux, amenant les kelpies vers toi. Et que Dana, l’entende et t’aide à retrouver cet enfant perdu.
Parce que, quelque part, les Highlands sont encore là.
Pas si fermées que ça, les portes du Sidh.
Peut-être n’es tu simplement pas qu’une enfant frôlée par Lug.
Peut-être qu’Ogme aussi, sur ta route, a semé ses pierres.
Peut-être que les sylphes chantent encore mais que tu ne reconnais simplement pas les paroles de leurs nouvelles mélodies.
Peut-être que les danseuses traversent encore les nuages entourées de pixies.
Sûrement que Brùnaidh est encore là, simplement si bien caché que tu as cru, un instant, l’oublier.
Sûrement que ce ne sont plus les bruits des roches qui résonnent mais les pas du Dullahan que tu perçois.
Tu n’as qu’à suivre la voie.
Et peut-être qu’un jour, toi aussi tu combattras aux côtés des Tuatha Dé Danann.
Éveillée de naissance, ton Don se déclare à tes 6 ans. Tu fais preuve d’une force parfaitement anormale pour une enfant de ton âge et de ton gabarit. Et cela n’a fait qu’empirer avec l’âge.
Décision est vite prise de t’entraîner à au moins maîtriser cette force et sa progression. Mais tu finis vite par y trouver un intérêt personnel et apprécier ce côté là de ta personne: taper fort, ça éloigne facilement les emmerdeurs. Ce ne sera qu’adulte, plus tard, que tu en découvriras aussi les conséquences.
Tu n’as que peu de difficultés à te maîtriser maintenant. Les coups de rage et de colère incontrôlés ont tendance à te faire perdre le contrôle mais ça reste assez rare: tu es relativement calme et stable niveau émotionnel.
Cela étant, ce Don, tu le caches. Nul besoin que tout le monde soit au courant de ça. C’est ta botte secrète: tu ne l’utilises que quand il est réellement nécessaire.
Histoire
- Résumé de l'Histoire:
- Naissance: Tu es née dans les Highlands écossais, d’une mère irlandaise (scientifique des ZR français) et d’un père écossais (Explorateur des Bataillons français). Tes deux parents sont globalement absents du décor à cause de leurs emplois les menant dans un continent complètement différent.
Tu es donc élevée par tes grands-parents.
Deux ans: Décès de ton père lors de l’exercice de ses fonctions. Son corps n’est pas rapatrié en dehors d’Aether.
Quatre ans: Suicide de ta mère qui ne supporte pas la perte de son mari.
Six ans: Ton Don se déclare.
Sept ans: Déjà turbulente, téméraire, tu passes la majorité de ton libre disponible à parcourir les paysages montagneux du Glencoe dans lesquels tu évolues.
Dix ans: Tes grands-parents sont âgés et définitivement, s’occuper d’une enfant aussi casse-cou que toi devient pénible pour eux. Tu es confiée à la charge de Frédrik, un bon ami de tes parents et tu te vois obligée de déménager en France.
Douze ans: Tu t’intègres mal: rebelle, turbulente, tu fais parler de toi et rarement en bien. Ta période gothique.
Quinze ans: Décès brutal de Fredrik d’une tumeur au cerveau. L’état de tes grands-parents ne leur permet pas plus de reprendre ta charge et tu n’as pas d’autre famille à disposition. Tu te retrouves livrée à la DDASS.
Dix-huit ans: Tu t’engages dans l’armée de terre française. Un bon moyen de quitter le système et de te décharger de cette période trouble, selon toi.
Vingt et un an: Tu quittes l’armée par ennui, selon tes dires. En réalité, tu es congédiée pour “mauvais comportement” et “violence excessive”. Tu déménages aux Etats-Unis et plus précisément à Dallas, dans le Texas. Tout cela après un dernier passage rapide par les Highlands.
Vingt-deux ans: Tu rejoins la ville des anges en Californie, où tu te produis en pleine rue, profitant de tes quelques talents de chanteuse et d’acrobate pour conquérir le cœur des passants.
Vingt-trois ans: Tu finis par t'ennuyer de tout ça et trouves un job plus stable en tant qu’agent de sécurité pour une boîte de nuit. Tu retombes dans tes vieux travers en participant à des combats clandestins pour arrondir largement les fins de mois.
Vingt-quatre ans: Tu rentres dans le catch pro, même si ce n’est qu’une toute petite ligue de la ville.
Vingt-cinq ans: Ta meilleure amie, Vivian, a de sérieux problèmes avec un peu tout le monde, surtout la pègre, les petits voyous et les gangs de votre quartier. Difficile d’être mère célibataire en enchaînant ce genre d’ennuis.
Le petit Charles, son fils d’à peine deux ans, disparaît le soir du décès de sa mère.
Vingt-six ans: Faut croire que t’as un code d’honneur (au moins minimum): tu as promit à Vivian de retrouver son gamin (tu sais pas trop pourquoi, sûrement la pression dû au fait qu’elle soit morte dans tes bras) et tu t’y atteles. C’est à Venture que tu perds sa trace. Tu y es encore, à sa recherche.
KULNING
La maison de tes grands-parents était vieille.
Celle dont les marches couinent quand un pied s’y pose; où le bois craque seul la nuit; où les branches des arbres tapant contre la fenêtre projettent des ombres mystérieuses et où le vent s’infiltre entre les creux pour murmurer les légendes de la Gaélie au creux de tes oreilles.
Selon toi, elle abritait un Brownie, Brùnaidh que tu l’appelais, sans vraiment d’originalité. Alors pour sa générosité et le soin qu’il prenait de cette vieille architecture, tu lui laissais parfois quelques biscuits au pied des marches menant au grenier.
Parce que bien entendu, caché des yeux malicieux, c’est là qu’il avait niché son nid.
Selon toi.
Quand tu te baladais le long du loch, tu cherchais, les mains en guise de jumelles de fortune, les traces des kelpies et chaque élodée que tu croisais, te faisait te méfier des each uisge qui pouvaient alors traîner dans les parages.
Les bonnets-rouges, eux, tu ne les as jamais vus. Tu n’étais pas sûre qu’ils existent: sûrement une fable pour enfants.
Sous les grands rochers, qu’à une main tu soulevais; entre les feuilles; entre deux nuages ressemblant un peu trop à de jeunes danseuses perdues dans l’infini, tu assurerais avoir entraperçu une pixie ou entendu une sylphe chanter.
Une fois ou deux, tes grands-parents t’emmenèrent sur les plages des Highlands. Mais le sable sous tes pieds nus n’avait pas l’effet unique des petits cailloux tranchants et de l’herbe humide de la montagne.
La mer n’avait pas le son, cet écho si particulier de la roche, elle n’avait pas la beauté de la vallée, aussi grande et fière fusse l’eau qui s’étendait devant toi.
Tu es une enfant du vent qui balaie le Ben Nevis.
Pas celle des eaux.
Une petite attentive aux mots de Lug.
Alors tu as eu beaucoup de mal à quitter tes grands-parents, le froid gelé de la vallée de Glencoe, les sylphes et même les banshee ont su te manquer quand tu as été récupérée par Frédrik et que la France est devenue ton nouveau ‘chez toi’. Ou du moins, ils espéraient qu’elle le devienne. Ce ne fut jamais le cas.
Oh, tu as bien essayé pourtant.
Quand les sylphes ont pour de bon cessé de chanter; quand tu as compris que les pixies ne quittent pas leurs fleurs et que Brùnaidh devenait trop vieux lui aussi pour s’occuper de la maison de ton enfance.
Quand tu as commencé à oublier l’odeur du froid de la montagne.
Quand les portes du Sidh ont été finalement fermées, en somme.
C’est à ce moment-là que tu as compris que les Highlands étaient déjà bien loin. Alors tu as essayé de te dire que ce nouveau pays était le tien, que tu ferais quelque chose de tout ça.
Mais le patriotisme, ça n’a pas été pour toi.
Alors, quand ils t’ont demandé de partir, c’est ce que tu as fait. A vrai dire, avant de mettre les voiles au loin, tu es rentrée, un peu, ‘à la maison’.
Mais là encore, les nuages n’étaient plus que des nuages.
Définitivement, le Brownie avait abandonné l’édifice qui tombait peu à peu en décrépitude.
Le vent ne murmurait plus de légendes à tes oreilles.
Les ombres des branches n’étaient que des ombres.
Les craquement du bois, la vieillesse de celui-ci.
La montagne ne chantait plus ou alors tu ne l’entendais plus.
Les élodées ne t’inquiétaient plus.
A nouveau alors, tu es partie.
Tu as laissé le loch et l’herbe humide et tu as fait ton voyage vers l’Ouest.
Peut-être que tu es devenue plus dure et aigrie avec ça. Certainement même. Quand l’Hiraeth frappe, plus rien n’est ‘chez nous’, si ce n’est ce lieu depuis trop longtemps perdu.
Là-bas, c’est toi qui a chanté, qui chante encore d’ailleurs. Sans la même fièvre qui te prenait, avant.
Tu y as continué à entraîner ta force. Avec plus de ferveur encore qu’avant.
La poète de Brigit laissant place à une guerrière acharnée.
Et quand Vivian t’a fait cette demande, dans un dernier souffle entre tes bras, tu n’as pas su refuser. Et tu jurerais que ce jour-là, tu as entendu la voix des Femmes du Sidh et que ces trois corneilles, sur le trottoir en sortant, celles qui n’auraient jamais dû se trouver là, étaient celles de Mórrígan.
Alors tu continues de chanter. Même sans vraiment y croire.
Que ce Kulning s’emporte à travers le vent jusqu’au Glencoe et ses landes. Qu’il traverse le loch et fasse onduler ses eaux, amenant les kelpies vers toi. Et que Dana, l’entende et t’aide à retrouver cet enfant perdu.
Parce que, quelque part, les Highlands sont encore là.
Pas si fermées que ça, les portes du Sidh.
Peut-être n’es tu simplement pas qu’une enfant frôlée par Lug.
Peut-être qu’Ogme aussi, sur ta route, a semé ses pierres.
Peut-être que les sylphes chantent encore mais que tu ne reconnais simplement pas les paroles de leurs nouvelles mélodies.
Peut-être que les danseuses traversent encore les nuages entourées de pixies.
Sûrement que Brùnaidh est encore là, simplement si bien caché que tu as cru, un instant, l’oublier.
Sûrement que ce ne sont plus les bruits des roches qui résonnent mais les pas du Dullahan que tu perçois.
Tu n’as qu’à suivre la voie.
Et peut-être qu’un jour, toi aussi tu combattras aux côtés des Tuatha Dé Danann.
Encore moi lol
Blake Tulach
Validé !
Bienvenue sur Venture
Tu sais déjà ce que je pense de cette fiche. C'est ta plume fantasy. Fin en grande partie donc j'en suis profondément fan.
J'suis amoureuse de cette fiche.
J'suis amoureuse de Blake et désolé par avance pour Orpheus.
Tu as vraiment une plume juste extraordinaire et sache que ça me rend toujours profondément heureux.se de rp avec toi, d'avoir cette immense chance.
Te lire, ça participe premier degré à mon bonheur alors s'il te plaît, ne t'arrête jamais d'écrire, je te regarderai toujours faire avec tout plein d'étoiles dans les yeux.
Et encore une fois : bon courage avec Orpheus.
Superforce niveau V bg bisous
J'suis amoureuse de cette fiche.
J'suis amoureuse de Blake et désolé par avance pour Orpheus.
Tu as vraiment une plume juste extraordinaire et sache que ça me rend toujours profondément heureux.se de rp avec toi, d'avoir cette immense chance.
Te lire, ça participe premier degré à mon bonheur alors s'il te plaît, ne t'arrête jamais d'écrire, je te regarderai toujours faire avec tout plein d'étoiles dans les yeux.
Et encore une fois : bon courage avec Orpheus.
Superforce niveau V bg bisous
Polaris
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